À propos du sondage GALLUP

Bonjour à toutes et à tous,

 

Comme vous avez dû le constater, il y a encore un sondage GALLUP cette année.
L’an dernier, tous les syndicats ont demandé à leurs membres de participer au sondage.
Pour notre part, nous réitérons la même demande cette année.

 

Pourquoi ?

 

Parce que ces sondages aident entre autres Le Groupe de travail sur l’environnement et les valeurs en milieu de travail dans lequel tous les syndicats y sont représentés.

Pour le SCRC, ce sont Rufo Valencia et moi-même qui y participons. La différence essentielle entre ces deux sondages (2016 et 2017) et les autres avant est que les syndicats obtiennent les résultats et participent activement au processus de décision pour faire changer les choses et apportent certains sujets au CCAS pour discussion plus approfondie.

 

Extrait du courriel que je vous envoyais l’an dernier :

« Entre 2010 et 2015, les résultats montrent une baisse importante de la satisfaction générale envers la Société. La santé psychologique et le souci de l’organisation relatif au mieux-être individuel est l’aspect le moins bon du sondage de 2015. 58 % des employés sont insatisfaits. 64,3 % des employés signalent des symptômes associés à un niveau de stress moyen à très élevé.
Sommes-nous surpris ? Pas vraiment avec tout ce que nous avons vécu depuis 2010.»

 

La situation a-t-elle changé ? Nous avons besoin de le savoir.

 

L’invitation des syndicats à remplir le sondage 2016 a fait grimper la participation de moins de 40 % l’année précédente (2015) à plus de 70 %.

Le portrait de ce que nos membres (les employés de Radio-Canada) vivent ou pensent de leur milieu de travail est plus exact lorsque la participation est grande. Que ce soit positif ou négatif.

Par exemple, si un aspect de notre travail ne nous plait pas, ce n’est pas en gardant la discussion entre nous que nous sensibiliserons l’employeur. Pas plus que si le pourcentage est faible. Par contre, si la participation est forte, l’employeur ne pourra nier cet aspect et il devra en tenir compte dans ses décisions. Les syndicats en étant témoins des résultats contribuent aussi à mettre l’accent sur ce qui doit être fait pour améliorer les éléments négatifs identifiés. Les discours des syndicats sont à ce moment-là validés par les résultats obtenus dans le sondage.

 

Nous avons entendu dire que certains gestionnaires fixent des objectifs de participation. Le seul objectif possible est de faire entendre notre appréciation du climat dans notre milieu de travail.

 

Vous avez jusqu’au 27 octobre pour répondre au sondage.

 

Merci d’y participer en grand nombre,

 

Johanne Hémond

Présidente du SCRC et au nom de Rufo Valencia, membre du Groupe de travail sur l’environnement et les valeurs en milieu de travail.

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